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PMaxi Jazz Maxi Jazz our les articles homonymes, voir Riff et RIF.
Le riff (alteration et diminution de “chorus”[1]) est Maxi Jazz un courtroom motif musical ou un ostinato, c’est-à-dire une combinaison de notes, d’accords ou un chorus joués de manière répétitive par la segment rythmique ou le musicien soliste d’une formation musicale. Le riff n’est Maxi Jazz pas apparu avec les musiques contemporaines : on peut évoquer les ritournelles, bien antérieures.
Il constitue Maxi Jazz los angeles base musicale et/ou rythmique ou bien encore l’accompagnement d’une composition et c’est typiquement l’accroche d’un morceau, los angeles Maxi Jazz signature reconnaissable Maxi Jazz qui fait que lorsque l’on évoque un morceau précis à quelqu’un, le riff fredonné « parle » immédiatement.
Le terme a été utilisé pour l. a. première fois aux alentours des années 19Maxi Jazz 20 par les musiciens de jazz et a été popularisé en 1945 par Thriving on a Riff de Charlie Parker. Il est également utilisé par les musiciens de blues, de rock ou de funk.
L’écriture pour large band dans le jazz classique (swing, and so on.) utilise beaucoup ce type d’effet. Dans le big band de Count Basie à la fin des années 1930, une partie du répertoire était composée de thèmes blues sur lesquels étaient joués des riffs de cuivres définis oralement (principe des « head preparations »). Utilisé comme aid de la mélodie, le riff pouvait aussi devenir la mélodie elle-même : In the Mood de Glenn Miller en est un Maxi Jazz exemple célèbre. [réf. souhaitée]
Les musicologues américains David Brackett et Richard Maxi Jazz Middleton définissent le riff comme une « courte Maxi Jazz word mélodique » ou « une courte determine musicale rythmique, mélodique, ou harmonique répétée pour constituer l. a. base d’une composition musicale ».[réf. souhaitée] Le musicien et essayiste Rikky Rooksby, quant à lui, considère que « le riff est une courte word musicale répétitive et facilement mémorisable qui constitue le primary moteur de l’énergie et de l’excitation provoquées par le rock ».[réf. souhaitée] La techno, répétitive par définition, se caractérise par le fait d’être uniquement à base de riffs (ce qui était déjà le cas, longtemps avant, du boogie-woogie). Quant à Wynton Marsalis, trompettiste de jazz, il définit le riff dans un morceau à l’photo des pancartes rencontrées successivement sur los angeles path, donnant à chaque fois l. a. vacation spot finale, avec le confort de savoir où l’on va. [réf. souhaitée]
Un riff peut être plus ou moins élaboré au point de vue mélodique ou harmonique. Les compositions de Chuck Berry se signalent par l’emploi systématique de riffs très brefs sur pas plus de 2 ou 3 notes.
Parmi les exemples de riffs les plus notables, citons ceux de You Really Got Me des Kinks, Smells Like Teen Spirit de Nirvana, (I Can’t Get No) Satisfaction des Rolling Stones, Day Tripper des Beatles, Whole Lotta Love de Led Zeppelin ou encore Smoke at the Water de Maxi Jazz Deep Purple, Maxi Jazz Highway to Hell de AC/DC et Seven Nation Army des White Stripes à los angeles guitare pour le rock[2], Blue Monk de Thelonious Monk , Take Five de Dave Brubeck, So What de Miles Davis, Take the “A” Train de Duke Maxi Jazz Ellington pour le jazz, Mannish Boy de Muddy Waters, Boom Boom de John Maxi Jazz Lee Hooker et Layla d’Eric Clapton pour le blues…Bibliographie[modifier zero-87930-710-2)
Notes et références[modifier